Choix d'Aloi
La loi c'est un peu comme moi,
C'est un paradoxe.
Un peu comme toi, comme n'importe qui.
Alors toi, n'importe qui, homme de peu de voix,
Que crois-tu qu'est une loi ?
Un choix que tu n'as pas,
Une peur et un tracas ?
Contrairement à ce que tu penses,
Pas plus que la panse du juge,
Personne n'a de droit sur toi,
Du moins, pas celui de violer tes droits.
Donc, fais tes choix,
Ouvre la voie,
Trouve l'expression de ta vie,
Trouble au passage les endormis.
Tragédie leur grotesque mascarade,
Quitte à ce que ça pétarade leurs charades,
Charge avant qu'ils bradent en rasade,
De la drave des anc
Austère message
En voltige face à la course,
Un peu comme un aléatoire jeu de bourse.
Petite main au loin,
Tâtonnant son destin.
Loin de tout,
Ici ou ailleurs, toujours la même distance,
La délirante ballade de l'inconscience.
Des détours de tours de par les mers et les continents,
Des parades alignant les gens en vulgaires condiments.
Marchandisés, salés, sucrés, bien dirigés,
Tous en ligne vers le sanguinaire festin de l'austérité.
Cette humanité saura-t-elle se réveiller,
Ou se laissera-t-elle poivrer jusqu'au dernier ?
Cette fatalité se laissera-
Petit Chemin Faisant
Petit matin faisant, Petit allant chemin,
Où est-ce qu'il est rendu mon destin ?
Où est le produit de mes deux mains,
La créativité de mes pensées censés ?
M'aurait-on censuré socialement sous la pauvreté ?
Suis-je en isolement au milieu du vent,
À me battre pour des gens ne suivant pas le chant ?
Dites-le moi avant la fin de mon temps,
Avant qu'il ne reste plus assez de doigts à mon écrin.
Allez-vous descendre des gradins,
Où est-ce qu'il va falloir que j'me fraie un refrain ?
Petit matin dans le vent, chemin divaguant au travers champs,
Allant, fai
Silence prolongé
L'encre en pensée et le silence sur papier,
Pourtant rien ne s'est arrêté,
Le monde a continué de tourner,
Et il le fera encore à volonté.
L'ancre dans le sucrier,
La société drogué ne se voit même plus aller,
À satiété, de tout bord tout côtés, on ne se voit même plus penser.
La panse dans le damier,
On se laisse engraisser
Sans penser à ce qu'on nous fait avaler.
C'est pourtant si simple de se réveiller,
D'ouvrir les yeux face à sa propre face,
Mais la voie de la facilité l'emporte,
La peur et le mensonge s
L'Accordéon
Le temps est comme le vent d'un accordéon,
Le ventre de notre condition.
Une énigme sans solution,
Pour laquelle nous suons et bavons,
Puis finalement, crevons.
Le pieu allant de notre naissance au seuil de la mort,
Qui façonne autant nos corps que le décor,
Une petite vibration sans son.
L'humain, petite poussière coincé entre les pages,
Petite variante sans visage,
Que celui de milliards de fous et sages,
Qui se froissent, se froissent, croassent et se fanent.
Le temps se trémoussant,
L'instrument des éléments,
Une petite danse au fil du courant,
L'énergie du
Je réponds
À l'expression «diviser pour mieux régner»
Je réponds: «Diversifier pour mieux vivre»,
Diversifier pour mieux évoluer.
Pas évoluer comme une théorie de Darwin,
Ou n'importe quelle connerie à la Godwin,
Mais évoluer comme une société,
Comme des humains en toute liberté.
Aux autres expressions à la con,
Je réponds simplement: «Pensez par vous-mêmes».
La raison en vous est plus forte que la citation,
Pour une fois, ne soyez que vous mêmes
Et ne faites plus les pions, les cons.
Encore et encore, je réponds,
M
Little soldier of the fools by batracien333, literature
Literature
Little soldier of the fools
Little soldier of the fools
Little soldier,
A tear on your weapon,
Wondering what's going on.
You are alone, suffering in your head,
The orders weren't right.
You didn't knew before,
But you have killed innocents
So it doesn't matter now, you're a murderer.
You know it now,
You're a sponsorised mass murderer,
You'll have to live with it in your face.
Little toy, power tool of the fools,
You were fooled like anyone of us.
You were used, like most of us,
You were lied, like almost all of us.
Fight of the unjust,
Fight of the weak,
That's what you've just done,
You've just destroyed your soul.
You've sold yourself to madness,
Démence vapeur
L'homme bon se perd au centre de sa patience,
Violé sous sa tolérance, il meurt graduellement,
Grand coeur au milieu d'un dédale sectaire de serpents.
Censuré par les lois du marché,
Renversons la vapeur,
Venu notre heure, celle de ne plus avoir peur.
Crions haut et fort au travers leur décor,
Quitte à esquinter leur sadisme de quelques corps.
À mort les big shots,
Parce que ce n'est pas qu'une liberté d'idées ni qu'un jeu.
À mort les gros riches sales,
Parce que leur fortune pave la Terre d'un tapis de cadavres.
Face à la sublimation de nos droits,
Rags
Road trippin' in my own mind,
Road playin' in my own boots.
Wondering away over my generation,
Why does nobody takes action ?
Mind raging over my trips,
Consciousness riding my steps,
What will we be over the madness ?
What will be left after this dirty war ?
What will be the next day ?
Still thinking about it everyday,
Why do we let mentally ill folks be in power positions ?
Why do money lead the way
Over humanity and dignity ?
Why such sadness ?
I may express myself freely around,
My voice may sounds like a shit bag.
But I don't care about my rags,
I don't care cause that's right,
That's my path through your way.
Io
Serment de trahison
C'est ce pourquoi vous avez prêtés serments,
Protéger vos semblables et défendre la paix.
Je ne suis pas votre ennemi,
Alors cessez de m'écarteler comme une fourmi,
De vouloir m'étouffer de votre misère à l'écume de haine.
Cessez de concevoir tout citoyen comme un ennemi potentiel,
Je ne suis pas, nous ne sommes pas vos ennemis.
Vous êtes des hommes et des femmes ayant juré,
Ayant eu un jour une vision d'espoir,
Vous avez cru pouvoir changer les choses de par votre vocation.
Mais aujourd'hui, vous nous crevez les yeux,
Nous tabassez et nous brutalisez à
Choix d'Aloi
La loi c'est un peu comme moi,
C'est un paradoxe.
Un peu comme toi, comme n'importe qui.
Alors toi, n'importe qui, homme de peu de voix,
Que crois-tu qu'est une loi ?
Un choix que tu n'as pas,
Une peur et un tracas ?
Contrairement à ce que tu penses,
Pas plus que la panse du juge,
Personne n'a de droit sur toi,
Du moins, pas celui de violer tes droits.
Donc, fais tes choix,
Ouvre la voie,
Trouve l'expression de ta vie,
Trouble au passage les endormis.
Tragédie leur grotesque mascarade,
Quitte à ce que ça pétarade leurs charades,
Charge avant qu'ils bradent en rasade,
De la drave des anc
Austère message
En voltige face à la course,
Un peu comme un aléatoire jeu de bourse.
Petite main au loin,
Tâtonnant son destin.
Loin de tout,
Ici ou ailleurs, toujours la même distance,
La délirante ballade de l'inconscience.
Des détours de tours de par les mers et les continents,
Des parades alignant les gens en vulgaires condiments.
Marchandisés, salés, sucrés, bien dirigés,
Tous en ligne vers le sanguinaire festin de l'austérité.
Cette humanité saura-t-elle se réveiller,
Ou se laissera-t-elle poivrer jusqu'au dernier ?
Cette fatalité se laissera-
Petit Chemin Faisant
Petit matin faisant, Petit allant chemin,
Où est-ce qu'il est rendu mon destin ?
Où est le produit de mes deux mains,
La créativité de mes pensées censés ?
M'aurait-on censuré socialement sous la pauvreté ?
Suis-je en isolement au milieu du vent,
À me battre pour des gens ne suivant pas le chant ?
Dites-le moi avant la fin de mon temps,
Avant qu'il ne reste plus assez de doigts à mon écrin.
Allez-vous descendre des gradins,
Où est-ce qu'il va falloir que j'me fraie un refrain ?
Petit matin dans le vent, chemin divaguant au travers champs,
Allant, fai
Silence prolongé
L'encre en pensée et le silence sur papier,
Pourtant rien ne s'est arrêté,
Le monde a continué de tourner,
Et il le fera encore à volonté.
L'ancre dans le sucrier,
La société drogué ne se voit même plus aller,
À satiété, de tout bord tout côtés, on ne se voit même plus penser.
La panse dans le damier,
On se laisse engraisser
Sans penser à ce qu'on nous fait avaler.
C'est pourtant si simple de se réveiller,
D'ouvrir les yeux face à sa propre face,
Mais la voie de la facilité l'emporte,
La peur et le mensonge s
L'Accordéon
Le temps est comme le vent d'un accordéon,
Le ventre de notre condition.
Une énigme sans solution,
Pour laquelle nous suons et bavons,
Puis finalement, crevons.
Le pieu allant de notre naissance au seuil de la mort,
Qui façonne autant nos corps que le décor,
Une petite vibration sans son.
L'humain, petite poussière coincé entre les pages,
Petite variante sans visage,
Que celui de milliards de fous et sages,
Qui se froissent, se froissent, croassent et se fanent.
Le temps se trémoussant,
L'instrument des éléments,
Une petite danse au fil du courant,
L'énergie du
Je réponds
À l'expression «diviser pour mieux régner»
Je réponds: «Diversifier pour mieux vivre»,
Diversifier pour mieux évoluer.
Pas évoluer comme une théorie de Darwin,
Ou n'importe quelle connerie à la Godwin,
Mais évoluer comme une société,
Comme des humains en toute liberté.
Aux autres expressions à la con,
Je réponds simplement: «Pensez par vous-mêmes».
La raison en vous est plus forte que la citation,
Pour une fois, ne soyez que vous mêmes
Et ne faites plus les pions, les cons.
Encore et encore, je réponds,
M
Little soldier of the fools by batracien333, literature
Literature
Little soldier of the fools
Little soldier of the fools
Little soldier,
A tear on your weapon,
Wondering what's going on.
You are alone, suffering in your head,
The orders weren't right.
You didn't knew before,
But you have killed innocents
So it doesn't matter now, you're a murderer.
You know it now,
You're a sponsorised mass murderer,
You'll have to live with it in your face.
Little toy, power tool of the fools,
You were fooled like anyone of us.
You were used, like most of us,
You were lied, like almost all of us.
Fight of the unjust,
Fight of the weak,
That's what you've just done,
You've just destroyed your soul.
You've sold yourself to madness,
Démence vapeur
L'homme bon se perd au centre de sa patience,
Violé sous sa tolérance, il meurt graduellement,
Grand coeur au milieu d'un dédale sectaire de serpents.
Censuré par les lois du marché,
Renversons la vapeur,
Venu notre heure, celle de ne plus avoir peur.
Crions haut et fort au travers leur décor,
Quitte à esquinter leur sadisme de quelques corps.
À mort les big shots,
Parce que ce n'est pas qu'une liberté d'idées ni qu'un jeu.
À mort les gros riches sales,
Parce que leur fortune pave la Terre d'un tapis de cadavres.
Face à la sublimation de nos droits,
Rags
Road trippin' in my own mind,
Road playin' in my own boots.
Wondering away over my generation,
Why does nobody takes action ?
Mind raging over my trips,
Consciousness riding my steps,
What will we be over the madness ?
What will be left after this dirty war ?
What will be the next day ?
Still thinking about it everyday,
Why do we let mentally ill folks be in power positions ?
Why do money lead the way
Over humanity and dignity ?
Why such sadness ?
I may express myself freely around,
My voice may sounds like a shit bag.
But I don't care about my rags,
I don't care cause that's right,
That's my path through your way.
Io
Serment de trahison
C'est ce pourquoi vous avez prêtés serments,
Protéger vos semblables et défendre la paix.
Je ne suis pas votre ennemi,
Alors cessez de m'écarteler comme une fourmi,
De vouloir m'étouffer de votre misère à l'écume de haine.
Cessez de concevoir tout citoyen comme un ennemi potentiel,
Je ne suis pas, nous ne sommes pas vos ennemis.
Vous êtes des hommes et des femmes ayant juré,
Ayant eu un jour une vision d'espoir,
Vous avez cru pouvoir changer les choses de par votre vocation.
Mais aujourd'hui, vous nous crevez les yeux,
Nous tabassez et nous brutalisez à
Un jour, il y avait des ... by batracien333, literature
Literature
Un jour, il y avait des ...
Un jour, il y avait des humains
Bienvenue dans mon fiasco,
Cette mer d'incohérence,
Cette merci d'idéaux,
Je parle seul,
Comme si quelqu'un m'écoutait...
Avec moi-même, incapable de m'exprimer
De crier ce que je veux dire
Ça me trouble que des gens ont pu et peuvent vivre ainsi,
En se résignant contre leur volonté,
Mais, ce qui m'y prend le plus,
C'est que moi aussi, j'y suis perdu,
Je m'égarre quelque part au travers des repères,
Repères, remparts, je ne sais plus trop
Je suis confronté à ma vie,
La poursuite de mes idéaux,
L'écoute de mes sentiments,
Ou
Monsieur le ministre
Fonctionnaire aux ambitions sinistres,
Élu au cabinet du porte-feuille.
Tu floues ton peuple au fond,
Avec tes écus, emplissant ta faste panse.
Une sadique sagesse semblable à la paresse,
Soudoyant les syndicats sous la presse.
Monsieur aime la culture,
Mais minus détruit le futur.
Monsieur a de la gueule,
Mais la tienne, tu la fermes.
Monsieur aime les ressources,
Alors, il pille à la source.
Monsieur aime l'environnement,
Alors, il laisse aller les coupes à blanc,
Fait l'innocent,
Ment comme un con avec ses grandes dents.
Monsieur aime la santé,
Ses actions doivent se
Current Residence: Trois-Rivieres, Quebec (or somewhere over the rainbow if you prefer) Favourite genre of music: Punk/Rock, Ska, Classical, Metal, Reggae, and almost everything... (but not country) Favourite photographer: Many ones Favourite style of art: Almost everything Operating System: Shitdows XP / Linux distr. Kubuntu MP3 player of choice: WinAMP / Amarok / Deezer.com Shell of choice: . Wallpaper of choice: . Personal Quote: \
Favourite Visual Artist
Salvador Dali, Francis Picabia, Roy Lichtenstein, etc...
Favourite Writers
Georges J. Arnaud, etc...
Favourite Games
Lineage II, GTA series, etc... [And life for sure]
Tools of the Trade
a mouse(computer), pencils, camera, etc...
Other Interests
computers, drawing, writing, theater, cinema, cameras, bikes, video games, music & many other th
Voilà, je réalise que je n'ai même pas vraiment de présentation de moi ici, alors voici un petit texte de présentation.
J'ai commencé à écrire en 2003-2004, mais plus particulièrement depuis 2008-2009. Mes textes portent généralement sur les inégalités sociales, l'injustice, la corruption, la revendication sociale, la bêtise humaine et bien sûr, la vie en soi, l'espoir. Je n'aime pas me classifier moi-même, je trouve qu'à force d'ainsi surclassifier, étiqueter et juger les gens, on perd bien des choses, de l'ouverture d'esprit et de la cohésion soc
I will put online few paintings from few years ago and also a bunch of drawings dating from many years to today... So, enjoy of your eyes or of your disdain !! :)
EDIT 2009-07-17: I will also add a load of prose from few years ago ;)
//
Je vais mettre en ligne quelques peintures d'il y a quelques années et aussi un paquet de dessins datant de plusieurs années jusqu'à aujourd'hui... Donc, appréciez de vos yeux ou de votre dédain !! :)
EDIT 17-07-2009: Je vais aussi mettre un tas de prose d'il y a quelques années ;)
It's the 2009 [inter]National Poetry Writing Month (NaPoWriMo), so I'll try to go as far as I can in that challenge and to write (at least :P) one poem by day for one month.
Most of my texts, if not all, will be in english, given that is a good occasion for me to improve my english poetry writing. Also given that that I have not that many texts in english comparatively to the number of texts I have in french.
Also, I know, my english can't always be perfect. In fact, my french too. I have a particular point of view about writing to the rules... Languages had evolved without strict rules, with too strict rules, languages doesn't really evolv